Ce même groupe avait incendié une voiture administrative, considérant reprochant à la police de ne pas avoir réagi contre une personne qui aurait proféré des blasphèmes.
Selon la Tap, «les salafistes qui ont paralysé le travail des administrations et celui des établissements éducatifs, et demandé la libération de leurs quatre camarades arrêtés ont organisé un sit-in devant la mosquée de la ville, après l’arrivée de renforts sécuritaires qui se sont déployés aux abords de la ville».






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